mardi 27 mars 2012

ISTANBUL LA MAGNIFIQUE

J'ai donc patienté une petite journée sur Bucarest, attendre la joyeuse bande de copains européens surnommée " salopage", pour prendre le large vers la Turquie et la splendide istanbul. Je vais être brève, car il faut vraiment voir pour se rendre compte que cette vielle est un vraie bijoux.


St-Sophie, Mosquée bleue, grand bazar, promenade dans les ruelles, Bazar Egyptien, croisière sur le Bosphore, coté asiatique, manifestations pour les droites des femmes, soirées, narguilés, kebab, palais Topkapi, mosquée de sultan le magnifique, tour galata, quartier coranique, prières omniprésentes, les pêcheurs du pont galata, les hommes de plastiques, les mouettes, les chats, nos hommes chez le barbier,  notre bonne humeur... cinq jours vraiment fantastiques. 




















Et pour finir une vidéo de la découverte musicale dans la rue, transcendante...


Istanbul, I will come back !!! 



mercredi 21 mars 2012

La France qui vient à moi! Quelle est la fourchette ?!!!

Et nous passons donc de deux à quatre! Ils sont là, tous beaux, tous frais, Jojo et Cyril ont eux aussi les pieds dans ma Roumanie. A la recherche d'un hôtel pour passer une petite nuit sur Tirgu Mures, demain, re-belote, train toute-la-journée pour rejoindre Piatra neamt où nous attendent Pat et Val ( mes compatriotes erasmus) pour planter le bâton. Et puis comme c'est une pension quatre étoiles qui nous saute dessus en premier, et bien on y va. Que ces ducs et leur duchesse s'endorment correctement sur leur deux oreilles, en prenant soin avant cela, de goûter le vin du mini bar. Triple back flip!

                                  Mon Jojo, vachement content de se résigner à être un chicken guy.

Les douze heures de train du lendemain fut juste un gros moment, long et drôle à souhait. Et pour que douze heures de train deviennent des crises de rire, c'est le signe que les coupains sont bel et bien arrivés! 


Trois changements fut nécessaire à notre acheminement à Piatra Neamt. Et c'est là que nous avons découvert la ville d'Adjud, ses chiens, ses sandwich dégueulasse, ses quaies sans lumières, ses mecs bourrés et surtout, la vieille femme voleuse de bière ( la golden brau s'y dessus en a fait les frais). Et notre dernier train, digne d'une locomotive en direction d'Auschtwitz nous a vraiment vendu du rêve. la preuve en image.

Capuches sur les têtes, pour éviter les poux. La paranoïa nous gagne doucement.

MAIS OUI! Piatra Neamt, nous y sommes, Pat et Val nous attendent à la pension ( très cosy d'ailleurs) avec de quoi fêter notre arrivée! Gros dodo, petit dèj, pantalon et veston étanches, la famille est carrément prête à dévaler les pentes, tous sauf Cyril qui commence à se demander ce qu'il fou ici. Vous avez jamais flipper de votre première journée de ski vous ? :) 

Avant
Après

Et la première descente de Cyril par Jojo... 


Pause resto, deux palinkas plus tard, c'est la piste éclairée que nous avons continuer notre journée pleine trop pleine de rire. Soirée à la pension, réveil tardif, on rejoint pour Iasi, mon logis, et les soirées ESN! 


Bref, restos, couchés très tardifs, fête, poutine de Pat, tartiflette... Bon rythme pour trois jours à Iasi. 

Dimanche c'est en voiture que nous avons décidés de rejoirndre Tirgu mures. Nous avons donc traversé la bucovine, entre montagnes verdoyantes et enneigées, charmants villages. La Roumanie que j'aime!


Pour conclure sur cette semaine formidable, une petite vidéo du coucher de soleil roumain.


Un grand merci les coupains d'être venue " me visiter", vous êtes au top du top. Et on oublie pas de descendre les valises.

Et pendant leur retour, je m'en retourne sur Bucarest où je patienterais une journée que mes neufs potos erasmus arrivent pour... ISTANBUL LA MAGNIFIQUE! 
Un grand pardon pour ce mois d'abandon, mais ce fut charger, très charger! Commençons par le commencement. Dans la nuit du 24 au 25 février j'ai donc effectuer mon premier Iasi-Bucarest seule, dans le mythique train de sept heures... Sans encombre, j'ai gagné la capitale avec des grosses poches pleines de fatigue sous les deux yeux. L'effort est bon, l'effort est beau, puisque c'est le grand voyage pour retrouver monsieur-mon-amoureux qui vient à la rencontre de ma Roumanie ( et un peu pour moi aussi ). Un grand café au Mc Donald de la gare du nord bucarestoise et hop, je m'en vais à la recherche de notre... quatre étoiles ( c'est pour la douche massante) Retrouvailles à l'aéroport, premier mot de roumain pour Titou, gros dodo, car dimanche c'est visite du "petit paris". 




Demain c'est une journée de dix heures de train qui nous attend afin de rejoindre les deux fistons à Tirgu Mures, c'est alors le moment de se " casser le ventre" à la fameuse cara cu bere! ( et de profiter une derrière fois de l'excellent pub en face de l’hôtel!)